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Néophyte en matière de blog je ne comprends pas tout ce qui s'y passe
j'apprends donc. Ceux qui me lisent sont apparemment arrivés par mon carnet d'adresse ou par Facebook. je ne sais pas bien comment un autre public peut y accéder, je ne connais pas la visibilité de cette chose, mais ce n'est pas très important.
Ce que je veux en faire reste aussi en suspend.
Au départ c'était le temps de la mise à distance, du partage autour de cette étrange aventure que représente cette maladie. C'était aussi sortir de ça, ne pas m'y empêtrer, ne pas me laisser envahir.
En parler pour être lue participe de cette liberté nécessaire à ma vie.
Paradoxe, en parler pour se libérer au risque de se perdre et de ne plus s'en détacher...
L'idée de permanence dans mon corps de ces petits nodules, complique ma vie, perturbe mon imaginaire (ça je l'ai déjà dit). L'écriture n'est pas suffisante et la peur de rester enfermée par cette dernière est là, aussi.
Ecrire tous les jours est une belle discipline encore faut-il avoir quelque chose de nouveau à exprimer. Et sur le sujet c'est souvent chaotique et parfois totalement absent. Et puis ça peut devenir lassant... Alors il faudra que je compte autrement avec ce blog et avec mes lecteurs, que je propose autre chose.
J'y réfléchi, il y a dans mes réserves de nombreuses "écritures" qui pourraient surgir de l'ombre dans laquelle elles sont enfermées.
A voir...
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Mais non je ne suis pas partie
Simplement un peu endormie
Ou plutôt en manque d'énergie, ça arrive, l'oscillomètre est capricieux.
Il est des jours où la léthargie s'empare de vous, alourdit votre corps, et dans ce cas les doigts refusent le clavier. Je ne suis pas pianiste, ça tombe bien.
Le soleil est revenu il inonde la place ou il y a deux jours brulait SenPançard (le Mr carnaval béarnais) devant une foule familiale heureuse et bon enfant. Alors vous avez compris je ne dirais pas grand choses aujourd'hui et comme hier c'était dimanche, fort occupée je n'ai pas parlé non plus.
Alors à plus tard pour de nouvelles écritures.
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